Face à un bien à financer, la banque ne peut ni visiter, ni ausculter, ni sentir le marché local.
L’expert est son unique interface avec la réalité du terrain.
Sa mission : voir ce que les chiffres ne disent pas, entendre ce que le marché murmure, et traduire cette réalité en valeur défendable.
Un contexte qui impose la lucidité
Nouvelles exigences réglementaires (CRR3, stress tests, taux d’effort plafonné), retournement de cycle, écarts croissants entre prix affichés et prix réels : le risque de surévaluation n’a jamais été aussi élevé.
Dans ce brouillard, l’expertise devient le seul point de repère fiable.
Un rôle, une méthode, une éthique
Indépendant. Neutre. Méthodique.
L’expert s’appuie sur la Charte de l’Expertise, les normes européennes (EVS 2025) et le RICS Red Book pour délivrer une photographie juste : ni optimiste, ni prudente — réelle.
Comparaison, capitalisation, analyse intrinsèque : des méthodes éprouvées au service d’une conviction : chaque garantie mérite une évaluation à la hauteur de l’enjeu.
L’avenir s’écrit avec la donnée et l’intelligence du terrain
Les nouvelles générations d’experts conjuguent expertise de terrain et outils augmentés : data, recherche, analyses fines.
L’objectif : transformer l’évaluation en levier stratégique pour sécuriser les décisions et renforcer la performance durable.
Car sans regard expert, il n’y a pas de financement éclairé.
